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NOTE - Mai 2020 : Certaines questions ont été retirées, de fait 7 questions et réponses en lien avec les rejets en phosphore par 1000 kg de gain ont été retirées car les modes de calcul associés avec la productivité ne sont plus reconnus. À ce sujet veuillez-vous référer au « Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage » 

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Volume en gestion liquide et eaux de laiterie
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Je voudrais savoir si dans les valeurs de référence CRAAQ 2003 pour le bovin laitier, gestion liquide, le volume en m3/tête du lisier inclut-il les eaux de laiterie ?
RE: Volume en gestion liquide et eaux de laiterie
10-04-14 20:25 comme réponse pour Comité effluents d'élevage.
Ce qu’il faut comprendre c’est que les valeurs références CRAAQ-2003, pour la production laitière, ont été « adaptées » afin d’obtenir la même charge fertilisante totale (masse X teneur) produite par le cheptel peu importe si les déjections animales sont entreposées sous une forme solide ou liquide. Ce qui n’était pas le cas avec les valeurs CREAQ-99. Voir note 2 valeurs référence CRAAQ-2003 pour la production laitière. Par conséquent, l’esprit des valeurs références pour la production laitière est surtout d’exprimer une charge fertilisante totale cohérente, peu importe le type d’entreposage des déjections animales. Les valeurs de volume et de teneur ne sont que des indicateurs pour établir les charges fertilisantes d’un élevage.

Mais, ce qu’il faut surtout retenir des formations dispensées à l’hiver 2009 par le CRAAQ au sujet des protocoles de caractérisation, c’est qu’il a été convenu de la part des principaux acteurs en agroenvironnement au Québec de convenir de ce qui suit :
• Comme plusieurs facteurs ont évolué depuis la publication des valeurs références en 2003 (méthodes d’élevage, alimentation, rendement en viande ou en lait, etc.) l’utilisation des valeurs références publiées en 2003 reflètent de moins en moins la réalité et les progrès des entreprises québécoises, par conséquent, les résultats issus d’une caractérisation conforme aux protocoles de caractérisation validés, publiés en 2008, seraient les valeurs à privilégier pour évaluer la charge fertilisante totale annuelle produite par un cheptel;

Actuellement, les seules explications justifiant l’utilisation des valeurs références pour un site d’élevage existant seraient que l’entreprise n’ait pas procédé à la caractérisation des déjections animales, ou encore, que le conseiller ne peut valider que la caractérisation est conforme aux protocoles validés, publiés en 2008.

Comité de coordination effluents d'élevage