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NOTE - Mai 2020 : Certaines questions ont été retirées, de fait 7 questions et réponses en lien avec les rejets en phosphore par 1000 kg de gain ont été retirées car les modes de calcul associés avec la productivité ne sont plus reconnus. À ce sujet veuillez-vous référer au « Guide Valeurs références pour les volumes et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage » 

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Adaptation des protocoles de caractérisation
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QUESTION: J'ai lu dans le protocole d'adaptation que pour un bâtiment engraissement de bouvillons on recommandait la prise de un échantillon par mois par bâtiment, ça me semblait beaucoup. Est-ce que c'est toujours la façon de procéder? De plus, mon producteur a plusieurs bâtiments sur le lieu d'élevage. Est-ce que vous avez une suggestion afin de simplifier le processus de caractérisation?
RE: Adaptation des protocoles de caractérisation
17-07-06 09:20 comme réponse pour Comité effluents d'élevage.
RÉPONSE: Le protocole de caractérisation des fumiers solides a été adapté pour certaines situations particulières. Nous vous invitons à consulter le document « Adaptation des protocoles de caractérisation : pourquoi et selon quels principes », au lien suivant :
https://www.craaq.qc.ca/documents/files/Effluents_elevage/ADAPTATION_PROTOCOLES_V_Depot_Web.pdf

Dans le cas que vous présentez, s’il y a des vidanges fréquentes du parc d’engraissement (journalières ou hebdomadaires) le protocole adapté des fumiers solides s’applique. Dans ce protocole, on ne spécifie pas qu’il faut échantillonner chaque bâtiment, mais qu’il faut prendre des prélèvements fréquents lors de la vidange des fumiers (sortie des fumiers hors ferme) pour constituer au moins un échantillon par mois. Donc, 12 échantillons annuels (minimum 15 prélèvements) seront pris en compte pour calculer la production annuelle de phosphore du lieu d’élevage.

En conclusion, dans tous les cas où l’agronome estime que l’un ou l’autre des protocoles validés ne peut s’appliquer tel quel, il pourra s’appliquer sur les balises présentées dans le document ci-haut mentionné pour adapter la procédure de caractérisation retenue.

Dans son rapport de caractérisation, l’agronome devra justifier les adaptations préconisées, valider et interpréter les résultats. Le recours à un bilan alimentaire pourra aider l’agronome dans son argumentaire lors de l’étape de l’interprétation des résultats.


Comité de coordination effluents d'élevage
http://bureauvirtuel.craaq.qc.ca/effluents